La récente menace du collectif mené par le SNEMG est sans objet.
A ce jour, et conformément aux engagements du Ministre de la Santé et de la Prévention, la totalité des actions de formation à la maîtrise de stage universitaire (MSU) est bien prise en charge par l’ANDPC hors quota, c’est-à-dire en plus du droit de tirage de 21 heures annuel de chacun.
Pour autant, ce droit a un coût qui ampute l’enveloppe globale de formation de tous les médecins et diminue donc l’accès à toutes les autres orientations prioritaires de formations disponibles.
C’est bien de la problématique du financement de la maîtrise de stage dont il s’agit, et cela doit faire l’objet d’une réunion de concertation avec l’ensemble des parties prenantes convoquées le 9 février prochain par le Ministre de la Santé et de la Prévention.
Ce communiqué du SNEMG doit nous conduire à nous interroger sur les prises de position dominante d’un organisme à la qualité reconnue mais dont le modèle économique tend à lui faire sacrifier les autres orientations du DPC.
Dr Franck Devulder – Président
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