Le 27 Août dernier, la CSMF co-signait un communiqué de presse intersyndical intitulé “Violence contre les médecins : une situation alarmante et inacceptable”.
Il y a 10 jours, une jeune pneumologue rémoise s’est faite agresser verbalement en consultation par l’épouse d’un patient.
Le week-end dernier, une jeune généraliste des Pays de Loire a été victime d’une tentative de viol d’un patient qu’elle recevait en urgence.
Monsieur le Premier Ministre, la CSMF vous demande de prendre toutes les mesures pour protéger les médecins libéraux dans le cadre de leur exercice professionnel.
La CSMF vous demande de mettre à disposition des médecins libéraux des dispositifs d’alerte en cas d’agression. Cela a été fait à l’initiative des élus CSMF de l’URPS ML de Guyane. Ce dispositif doit être étendu.
La CSMF vous demande de renforcer les outils législatifs pour que les peines soient aggravées en cas d’agression d’un médecin. Le message doit être clair : “Mon médecin est là pour me soigner. L’agresseur sera sévèrement condamné”.